Aujourd’hui, la lithothérapie est mise en avant dans le domaine du développement personnel et du bien-être en général. Ainsi, de plus en plus de personnes se tournent vers cette pratique. Mais la découverte de ce type de médecine ne date pas d’hier.
Si le terme lithothérapie vient du grec, il n’est pas évident de retracer sa véritable origine historique. En effet, les cristaux et les pierres accompagnent l’humanité depuis le début de l’histoire et à l’ère de la technologie, ils sont toujours là.
C’est grâce aux pierres que le développement des civilisations a pu avoir lieu. Les hommes de la préhistoire ont utilisé les pierres en vue de fabriquer des parures et des outils. Dans l’Antiquité, les Incas, les Aztèques et les Mayas s’affichaient avec des bijoux parés de pierres. Du côté de l’Égypte antique, on a commencé à éprouver de l’intérêt pour le symbolisme des couleurs des pierres, mais également à leur placement sur le corps.
Ensuite, la découverte des propriétés bienfaitrices des minéraux s’est développée en Inde, en Chine, puis au Japon avant d’atteindre petit à petit le monde entier.
Au Moyen-Âge, on trouve les minéraux en Europe sous forme d’élixirs et de poudres.
À cause de l’évolution des sciences et des techniques, l’analyse des pierres fut délaissée jusqu’au XXe siècle. Auparavant, la lithothérapie était considérée comme une superstition. C’est le médium Edgar Cayce qui attire pour la première fois l’attention du grand public sur ses vertus curatives, en mettant en avant le pouvoir de guérison des cristaux.
Dans les années 70, l’intérêt pour la lithothérapie a refait surface.
Grâce à sa démocratisation, les minéraux sont aujourd’hui prisés dans le monde de la joaillerie et de l’industrie. Ils sont omniprésents dans notre quotidien, que ce soit sur nos bijoux, dans nos ordinateurs ou même dans nos montres
